1 Un treck de 7 jours dans le Hoggar, aux portes de Tamanrasset, qui nous a amenés vers le plateau de l'Assekrem, en compagnie d'un guide, d'un cuisinier, de 2 chameliers et de leur caravane de 9 chameaux.
2 Remontée d'un Oued asséché dans lequel un palmier se ressourcera à la première pluie.
3 Rencontre furtive avec un Touareg : guide, éleveur ?
4 Quelques traces d'eau, le long de l'Oued qui s'assèche, laissant un dépôt de sel.
5 La caravane nous distance.
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7 Toujours quelques plantes colorées pour égayer ce paysage volcanique.
8 Au coucher du soleil, les blousons polaires sont de rigueur car la température perd plus de 20°C en quelques dizaines de minutes.
9 Le feu de bois, alimenté par les maigres buissons du lieu de camp, réchauffe davantage l'eau du thé que l'air ambiant.
10 Préparation des selles pour les chameliers qui mènent les chameaux vers la prochaine étape.
11 C'es tout un art d'équilibrer les chargements de part et d'autre de la célèbre bosse.
12 Un animal adapté au milieu : ça ne fait pas l'ombre d'un doute.
13 Les enfants d'une tribue nomade, de la famille de notre guide.
14 Un moment unique, l'occasion de boire un thé et de goûter lait et fromage de chèvre locaux. Cet "artisanat du lait" se fait dans des outres en peau de chèvre.
15 Ce campement nomade quittera peut-être dans quelques mois, les "pâturages" des pentes de l'Hadado.
16 Dans la gorge du corbeau, les fleurs se mêlent aux colonnes sculptées par l'érosion.
17 Un peu de végétation dans le lit de l'Oued : des coloquintes et une asperge.
18 Un chameau peut en cacher un autre.
19 Ce cadre dynamique est un vrai chameau !
20 Sous le feu, le pain cuit, la pâte déposée à même la terre.
21 Après l'averse de la nuit, les nuages sont lentement soufflés, à l'approche du plateau de l'Assekrem.
22 La montée vers le col demande un peu de souffle.
23 Le vent souffle fort dans ces grandes orgues naturelles.
24 A 2750 m, sur le plateau de l'Assekrem, le père Charles de Foucault a établi son ermitage en 1911.
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28 Le col du Terzouïag que nous avions franchi le matin-même sous les nuages.
29 What's that coming over the hill ?
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31 La redescente vers le camp, dans la nuit noire et glacée, s'annonce rude.
32 A genoux devant des choux.
33 La lente remontée du lit de l'Oued qui cherche sa trace entre les massifs.
34 Les formations basaltiques rappellent les colonnes hexagonales de Giant's causeway en Irlande du Nord. La Guinness en moins.
35 Le dressage des jeunes dromadaires. Un travail de 1 ou 2 ans qui demande persévérance, force physique et savoir-faire. Les bouchons d'oreilles peuvent être utiles.
36 En route pour le massif Taïssa, labyrinthe de granit rose qui émerge des coulées de basalte.
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39 Au pied du massif, les acacias sont les uniques arbres de ce cirque de granit.
40 La croix du Sud, figure de proue des selles des chameaux.
41 Fin de sieste sous le soleil.
42 La pause déjeuner est finie pour les dromadaires aussi. Malgré leurs entraves, ils parcourent plusieurs centaines de mètres pour rechercher les meilleures herbes.
43 Ce gros lézard en voit de toutes les couleurs.
44 Ici, nul besoin d'attendre la marée basse pour rejoindre le Mont St-Michel.
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47 La roche s'embrase et les ombres s'étirent.
48 Un peu de thé en guise d'apéritif.
49 Sous la terre, le pain attend.
50 Sous le soleil, le reg de roches basaltiques semble infini.
51 On reconnaît les dernières heures du treck aux traces des chameaux qui suivent celles de véhicules.